Site Internet du danseur de flamenco José Rafael « El Moro » - Paris

José RAFAEL « El Moro »
José RAFAEL "El Moro" :
Entrée en scène dans le spectacle "A pesar de todo".
C’est à Madrìd que José RAFAEL, dit El Moro, a été parfaire sa formation de danseur. Il a passé trois ans à l’Académie de référence Amor de Dios où il a travaillé avec Ciro, maître de Sara Baras, Cristobal Reyes, recruteur de la Cie Joaquin Cortès et El Güito, ex-Cie Antonio Gades. 

José RAFAEL a été remarqué, dès ses premiers spectacles, pour son zapateado swingué, la précision du braceo, ainsi que pour son expressivité et sa présence scénique. La créativité chorégraphique de ce danseur s’est fortement exprimée dans ‘‘A pesar de todo’’, un spectacle qu’il a monté, et qui a été présenté en avant- première à Planète Andalucia. 
José s'est, de même, produit au Festival de sons et images à St Valéry où il a dansé sa fameuse Farruca après la projection du film Encuentros, consacré au Flamenco. Il a aussi dansé au Théâtre de Paris Plaine dans le cadre de la lutte contre le cancer. Il a à cette occasion, en présence du journaliste Emamuel Chain, été programmé avec d'autres danseurs réputés dans leur disciplines (Cie des 1001 nuits, Stéphane Loras, etc..)
José RAFAEL a été également artiste flamenco invité par le Ballet d’Armàn Vossougui au Théâtre de Lagny. 

José " El Moro" est, par ailleurs, sollicité dans le milieu du théâtre et du cinéma. Ainsi, l’agent de Chatiliez a eu recours à José pour le choix de la danseuse devant figurer dans un prochain film à grand budget. La comédienne Sonia Erhard, elle aussi, a sollicité les services de José RAFAEL en tant que répétiteur pour la chorégraphie de Noces de sang, mis en scène par Farid Paya (Cie du Lierre).
On notera enfin l’engagement de José RAFAEL dans l’associatif subventionné par l’Ambassade espagnole pour le maintien du Flamenco.

Une véritable foi artistique anime ce danseur qui a déchiré son diplôme de droit et rompu avec son milieu social. C’est d’ailleurs ce qui, à Madrid, le rapprochera de Ciro. En effet, les deux hommes ont la même histoire. Un an avant la disparition d’Antonio Gadès, lors d’une soirée à Madrid en hommage au grand Antonio, Ciro dira à José RAFAEL : « le Flamenco, c’est la dignité, c’est toute une vie… ».